FUKUSHIMA - 3 mai 2011 - Quoi de neuf N°40 - Dernières nouvelles - NATURE(S)
FUKUSHIMA - ACTUALITES NUCLEAIRES EN DIRECT - REVUE DE PRESSE - DOCUMENTS
photo : Greenpeace à l'EPR de Flamanville

En essayant de lire transversalement le bombardement informatif (signe de démocratie), on sent aujourd'hui que l'ASN (Autorité de sûreté nucléaire) adopte une position de recul (feinte ou pas feinte ou les deux) : en parlant des "problèmes de sécurité" de la centrale EPR (nouvelle génération de réacteur - voir dossier en deuxième partie). Ou encore en affirmant son souhait de porter en justice les non-déclarations d'accidents de travailleurs intérimaires (voir plus avant). De quoi faire hurler (ou sourire) le président Sarkozy qui ne compte pas du tout renoncer à l'EPR. Ou bien faux-semblant et jeu tactique astucieux entre la présidence et l'ASN. Il faudra bien, optique présidentielle oblige, que la façade présidentielle soit nette.
On peut donc penser que l'ASN jouera son rôle de gendarme en entamant des procès (cela calme et dure longtemps) et qu'une centrale sera arrêtée (preuve de bonne volonté et de respect des observatoires officiels). Fessenheim devrait être la victime expiatoire. D'autant qu'un accident nucléaire de portée européenne (Suisse et Allemange très proches) décrédibiliserait la politique nucléaire française et conforterait Angela Merkel dans ses choix de réduction du nucléaire). Ce sacrifique, permettrait en revanche de mieux faire passer la pilule de l'EPR, sur laquelle toute la politique nucléaire française repose. De plus l'ASN ne perdrait pas la face et conserverait toute crédibilité. Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Deuxième partie
Une exploration approfondie des tenant d'un futur très très nucléaire, parlant même de développement durable (il faut oser !), montre d'une part que des plans sont tout tracés jusqu'en...2060 et d'autre part que le réseau établi est immense. Le "Qui fait quoi du CEA" (voir plus loin) illustre ces interconnexions entre toutes les institutions, centres de recherches, experts & co. Parmi eux, nous avons choisi de developper l'ANDRA qui, à son tour, expose toutes ses relations. Les enjeux sont tellement énormes, financièrement et diplomatiquement qu'on imagine assez mal un recul important en matière nucléaire. L'idée que l'Etat peut faire des sacrifices, mais ne pas toucher à l'EPR, devient encore plus évidente.
C'est pourquoi il semble plus que jamais fondamental de démontrer très rapidement tout l'intérêt qu'il y a à développer d'autres techniques de fourniture d'énergie, non fossile, renouvelables et durables. Il me semble que cette approche est sans doute la seule voie possible. Seules, la contestation et la veille - pourtant nécessaires - ne sont pas suffisantes.
MISE A JOUR DE 13H00__________________________________________
DD MAGAZINE - 3/05/2011 - "Le développement durable en pratique"
Au Japon, la dose de radiations pour les enfants multipliée par 20
par Yves Heuillard
"Le professeur Toshiso Kosako est conseiller spécial du premier ministre japonais Nato Kan. Il vient de démissionner à la suite de l'annonce par le gouvernement d'un assouplissement de la dose limite annuelle de radiation pour les enfants des écoles. Cette dose, jusque là de 1 mSv (millisievert) par an a été relevée à 20 mSv, soit la dose maximale admissible pour les travailleurs du nucléaire en France. Le gouvernement justifie cette mesure par la nécessité de laisser les enfants jouer à l'extérieur des écoles dans des zones, non évacuées, mais contaminées par la catastrophe nucléaire de Fukushima.
Lors d'une conférence de presse, vendredi dernier, le professeur Kosako, en larmes, a expliqué que des doses de 20 millisieverts par an était extrêmement rares, même pour des professionnels du nucléaire "il est tout à fait inacceptable d'appliquer une telle limite de dose à des enfants en bas âge, et à des élèves de classe primaires, et il est urgent de revenir sur cette décision". Kosako est un expert en radiations. Il faut savoir que l'effet des radiations sur les enfants, alors que leur organisme est en développement, est plus dangereux encore que pour les adultes.
.../...
L'association Physicians for Social responsbility (médecins socialement responsables) a interpellé le gouvernement japonais indiquant que de telles doses de radiations mettaient en danger la santé des enfants et des femmes enceintes et les exposaient à des risques inacceptables de cancer. (Source Kyodo)
http://search.japantimes.co.jp/cgi-bin/nn20110502x1.html
En Allemagne, au Royaume-Uni, et ailleurs dans le monde, l'information a donné lieu à des centaines d'articles dans la presse en ligne. Il nous apparaît significatif qu'en France, au moment où nous écrivons ces lignes, et parmi les grands médias, seul Sciences et Avenir, appartenant au groupe de presse indépendant Nouvel Observateur, a relayé l'information. Notre source est le quotidien Japonais The Mainichi Daily News.
http://www.ddmagazine.com/201105032194/Actualites-du-developpement-durable/Au-Japon-la-dose-de-radiations-pour-les-enfants-multipliee-par-20.html
(Mais si, Yves, on a vu !)
AILLEURS
"La perte de sang froid d'un certain nombre de ceux qui devraient au contraire regarder l'avenir et non pas regarder la dernière émotion, est extravagante" - Nicolas Sarkozy
EN VISTE A GRAVELINES, IL Y A UNE HEURE
Photo JT de France 2 - 13H00
«Le moratoire c'est le choix du Moyen-Age»
Extraits :
«Faire confiance au nucléaire, c'est continuer à investir dans le nucléaire. Ce n'est pas le moratoire. Le moratoire, c'est le choix du passé et du Moyen-Age"... "Je veux que vous sachiez qu'on va continuer à investir dans le nucléaire. Si je prenais la décision folle de fermer le parc nucléaire français, il faudrait trouver 45 milliards d'euros.» «Et à cause d'un tsunami au Japon il faudrait remettre en cause ce qui fait la force de la France ?»... «Arrêter le chantier de Flamanville, il n'en est pas question. Drôle d'idée d'arrêter la centrale qui sera la plus sûre».
«Mais est ce que nous voulons uniquement le nucléaire ? Non. Nous voulons le nucléaire et les énergies renouvelables. Et nous allons investir massivement dans les énergies renouvelables»...
L'EXPRESS
publié le 03/05/2011 à 14:46
Un mois et demi après la catastrophe nucléaire japonaise de Fukushima, Nicolas Sarkozy est venu mardi réaffirmer sa foi en cette source d'énergie dans la plus grande centrale atomique d'Europe occidentale, à Gravelines, dans le Nord-Pas-de-Calais.
Le chef de l'Etat, qui a visité le bâtiment de stockage du combustible et la salle des commandes du réacteur numéro 4, vieux de 30 ans, a dénoncé la peur "irrationnelle" et "moyenâgeuse" entretenue selon lui par les détracteurs de l'énergie nucléaire.
"J'ai confiance dans la sécurité du parc nucléaire français", a-t-il déclaré devant les salariés de la centrale de Gravelines, gérée par EDF.
"Je n'ai pas été élu pour le remettre en cause. Il ne sera donc pas remis en cause, a-t-il ajouté. Nous allons continuer à investir dans le nucléaire.".../...
Nicolas Sarkozy a promis qu'il n'hésiterait pas, après cet audit, à fermer une centrale qui présenterait des "faiblesses".
20 MINUTES
TOKYO - Fukushima: les indemnisations pourraient atteindre 33 miliards d'euros
Créé le 03.05.11 à 11h40 -- Mis à jour le 03.05.11 à 11h42
TOKYO - Le gouvernement japonais a estimé à 33 milliards d'euros (4.000 milliards de yens) le montant total des indemnisations liées à l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima (nord-est), affirme mardi le quotidien Asahi Shimbun, sans citer de sources.
http://www.20minutes.fr/article/717131/planete-fukushima-indemnisations-pourraient-atteindre-33-miliards-euros
ENVIRO2B
Nicolas Sarkozy doit se rendre aujourd'hui en visite à la centrale nucléaire de Gravelines dans le Nord, plus importante centrale d'Europe. L'occasion pour le chef de l'Etat de réaffirmer le choix français du nucléaire après la catastrophe de Fukushima.
http://www.enviro2b.com/2011/05/03/nucleaire-sarkozy-a-gravelines/
WELCOME TO KTH Royal Institute of Technologie
"Les gens doivent réaliser que ce mélange rêvé d’énergies renouvelables, d’éolien et de solaire, ne suffit tout simplement pas – ça coûte très cher", explique Reisch, de KTH
Son email :
http://www.kth.se/gemensamt/sok-anstalld?_flowId=user-flow&kthId=u1denqrj&l=en_UK
MISE A JOUR DE 09H00__________________________________________
ROMANDIE NEWS (AFP) - 4H18
Fukushima: le Rainbow Warrior effectue des mesures au large de la centrale
TOKYO - Le Rainbow Warrior, vaisseau amiral de Greenpeace, a entamé mardi des mesures sur la qualité de l'eau au large de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima, dans le nord-est du Japon, a annoncé l'organisation écologiste. Les gens réclament haut et fort une étude indépendante sur le niveau de contamination et un avis clair et objectif concernant les risques potentiels sur la santé, a expliqué Ike Teuling, expert de Greenpeace en radiations, qui se trouve à bord du navire.C'est ce que nous sommes venus faire, a-t-il ajouté.
LE FIGARO.FR - Hier 19H51
Fukushima ébranle l'optimisme d'Areva
Le géant du nucléaire va revoir ses prévisions 2011 et 2012 au regard de la catastrophe intervenue au Japon il y a près de deux mois. Le plus difficile pourrait être à venir pour Areva. Le géant français du nucléaire a annoncé ce lundi qu'il allait étudier l'impact de la catastrophe nucléaire qui a secoué le Japon le 11 mars dernier sur ses prévisions pour 2011 et 2012. «Ces événements ont modifié l'environnement dans lequel ses perspectives financières 2011 et 2012 (...) ont été établies, et les rendent non pertinentes»
Le communiqué de presse :
http://www.areva.com/news/liblocal/docs/FICHIERS%20PDF%20CP/2011/AREVA_CP_CA%20T1%202011_FR.pdf
LIBERATION 03/05/2011 À 00H00
La Cour des comptes va auditer le nucléaire
Nicolas Sarkozy l’a dit, redit, le répétera encore aujourd’hui à la centrale de Gravelines (Nord) : Fukushima ou pas, pas question de sortir du nucléaire. En revanche, hier, lors d’un déjeuner à l’Elysée, les ONG écologistes ont obtenu qu’il confie à la Cour des comptes un audit (suite avec abonnement) http://www.liberation.fr/economie/01012335076-la-cour-des-comptes-va-auditer-le-nucleaire
Excellent site - suivi documenté :
ENERZINE
France : 5 centrales nucléaires en zones sismiques 4
On apprend que 60 % des communes françaises sont situées en zones de sismicité 2 à 5, contre 14 % repertoriées dans l'ancien zonage (soit > 5000 communes). Et 25 % des communes sont concernées par les règles parasismiques pour les maisons individuelles (soit > 9000 communes).
En superposant cette carte avec l'emplacement des centrales nucléaires existantes ou en cours de construction on voit immédiatement qu'au moins 5 centrales sont situées sur des zones de sismicité de niveaux 4.
Pour ce qui concerne le risque sismique et les centrales nucléaires, c’est la RFS (Règle Fondamentale de Sûreté) dite RFS 2001.01 (ou RFS I.2.c) à laquelle doit se soumettre l’exploitant (EDF, donc pour les centrales nucléaires mais aussi le CEA ou d’autres industriels pour d’autres installations nucléaires).
C’est l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) qui a rédigé et met à jour les RFS (en tous cas en matière de risque sismique) et c’est aussi l’IRSN qui contrôle l’application de la règle en expertisant l’ensemble des centrales françaises par tranches successives de façon régulière (tous les 10 ans en moyenne).
http://www.enerzine.com/2/11922+france---5-centrales-nucleaires-en-zones-sismiques-4+.html
Texte officiel des Règle Fondamentale de Sûreté
http://www.asn.fr/index.php/content/download/16292/103100/file/rfs.2001-01.pdf
LA VOIX DU NORD
Nucléaire : le coût de la retraite -mardi 03.05.2011, 05:13
Un audit des centrales nucléaires existantes oui, un gel du programme EPR, certainement pas ! C'est en substance la réponse de Nicolas Sarkozy aux ONG associées au Grenelle de l'environnement qu'il recevait hier à sa table à l'Élysée.
.../...
En soulignant récemment les problèmes de sécurité posés par la nouvelle installation en bord de mer, le patron de l'Autorité de sécurité nucléaire, André-Claude Lacoste, a apporté de l'eau à la turbine des opposants. « EPR ou non, le nucléaire sûr n'existe pas », proclame Greenpeace en demandant, comme Europe-Écologie - les Verts, « l'arrêt immédiat du chantier ». Mais aussi l'abandon des négociations avec les pays acheteurs potentiels du réacteur français.
Et ils sont nombreux, de l'Inde à l'Afrique du Sud en passant par la Grande-Bretagne et l'Italie, sans oublier bien sûr la Chine où Areva la bataille des années pour obtenir une part du gigantesque gâteau énergétique... En soulignant récemment les problèmes de sécurité posés par la nouvelle installation en bord de mer, le patron de l'Autorité de sécurité nucléaire, André-Claude Lacoste, a apporté de l'eau à la turbine des opposants. « EPR ou non, le nucléaire sûr n'existe pas », proclame Greenpeace en demandant, comme Europe-Écologie - les Verts, « l'arrêt immédiat du chantier ». Mais aussi l'abandon des négociations avec les pays acheteurs potentiels du réacteur français. Et ils sont nombreux, de l'Inde à l'Afrique du Sud en passant par la Grande-Bretagne et l'Italie, sans oublier bien sûr la Chine où Areva a bataillé des années pour obtenir une part du gigantesque gâteau énergétique...
INVESTIR
GDF SUEZ : GDF Suez : « Trop tôt pour tirer des conclusions de l'après-Fukushima sur le nucléaire »
Interrogé sur la catastrophe nucléaire au Japon, « il est trop tôt pour en connaître les conséquences sur la filière nucléaire dans le monde en terme de coûts et de perspectives de développement de nouvelles centrales » a expliqué Gérard Mestrallet, président de GDF Suez avant d'ajouter que « nous en connaissons aujourd'hui seulement le sens : un coût plus élevé après les stress test et un rythme plus lent pour le développement des nouvelles centrales ».
SWISSINFO.CH - 6H00
La centrale de Fessenheim inquiète la Suisse. Et le Bugey?
Doris Leuthard a rencontré lundi à Paris son homologue française Nathalie Kosciusko-Morizet. Au menu: l'épineux dossier nucléaire. Les cantons de Bâle et du Jura réclament la fermeture de la centrale alsacienne de Fessenheim. «Tant que nous n'avons pas reçu d'avis d'experts indépendants, cela n'a aucun sens de réclamer la fermeture de cette centrale», estime la cheffe du Département fédéral de l'environnement (DETEC).
D’autant que le processus d'expertise des centrales nucléaires lancé dans les deux pays suite à la catastrophe de Fukushima «est assez similaire». «De part et d’autre, le contrôle sera réalisé par des experts et non par les autorités politiques, note Mme Leuthard. Ils pourront proposer des sanctions si nécessaire.» Entre voisins, on examinera le bilan en fin d'année, à l'occasion d'une réunion extraordinaire de la Commission franco-suisse de sûreté nucléaire et de radioprotection.Doris Leuthard revient tout de même de Paris avec une nouvelle assez concrète: les 7 et 8 juin, la France organisera une réunion ministérielle du G20 consacrée à la sûreté nucléaire
http://www.swissinfo.ch/fre/politique_suisse/La_centrale_de_Fessenheim_inquiete_la_Suisse._Et_le_ Bugey.html?cid=30136314
LA VOIX DU NORD
SARKOZY A GRAVELINES AUJOURD'HUI
Les salariés de la centrale attendent. Les syndicats de la centrale nucléaire ont tout fait pour avoir l'occasion de s'entretenir avec le président. Une délégation CGT, CFDT, FO et CGC devrait avoir «entre 5 et 8 minutes » pour discuter avec Nicolas Sarkozy, en marge du temps de rencontre plus informel avec les salariés. « Cette visite est un événement. Il était hors de question de lui faire un comité pour le conspuer. Nous voulions au contraire que son passage soit pour nous l'opportunité de lui soumettre nos revendications », explique Richard Vanoc (CGT Cadres).
DOSSIER EPR
AFP Hébergé par Google
EPR: Bouygues dit ne pas être à l'origine des sous-déclarations d'accidents (AFP)
CAEN — Bouygues, qui pilote le génie civil sur le chantier de l'EPR de Flamanville (Manche), a indiqué vendredi que "les non-déclarations d'accidents" sur lesquelles enquête l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) "ne sont pas le fait de l'entreprise mais relèvent d'initiatives personnelles". "Pour éviter que ce type de situation ne puisse se reproduire, Bouygues Construction a rappelé la procédure de déclaration des accidents du travail", a souligné le groupe dans un communiqué. Bouygues répond ainsi aux syndicats CFDT et CGT d'EDF, le maître d'oeuvre sur le chantier, qui l'accusent de faire pression sur les salariés pour qu'ils ne déclarent pas les accidents. Selon la CFDT, le chantier emploie 3.256 personnes hors EDF, avec un tiers d'intérimaires et un tiers d'étrangers. "20 personnes sont totalement dédiées à la sécurité sur le chantier et les consignes sont régulièrement rappelées", ajoute le groupe de BTP.
Selon les syndicats, l'inspecteur du travail de l'ASN les a informés qu'une dizaine d'entreprises sur le chantier étaient concernées.
Le responsable de la communication de Bouygues construction n'était pas joignable dans l'immédiat pour plus d'information.
Jeudi, l'ASN a indiqué enquêter sur une sous-déclaration des accidents du travail sur le chantier, qui pourrait être de l'ordre d'un accident sur quatre. Le gendarme nucléaire n'exclut pas de saisir la justice dans les semaines à venir lorsque son enquête sera terminée.
Une enquête préliminaire est par ailleurs en cours sous la houlette du parquet de Cherbourg, après le décès le 24 janvier sur le chantier d'un intérimaire de 37 ans, père de quatre enfants.
ndr - purin de schiste
Après lecture du pré-rapport rendu au ministère du développement durable, l’OMESC s’oppose à l’extraction par fracturation des huiles et gaz de schiste sur le Larzac.http://www.actualites-news-environnement.com/26424-OMESC-non-exploitation-gaz-schiste-Larzac.html
http://www.actualites-news-environnement.com/newsletter.php
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DOSSIERS & DOCUMENTS
CEA
L’énergie nucléaire du futur : quelles recherches pour quels objectifs ?
Extraits
http://nucleaire.cea.fr/Energie_nucleaire_DEN.pdf
page 54
Fig. 56. Le calendrier de renouvellement du parc de réacteurs nucléaires français, tel qu’il est actuellement envisagé par EDF. L’exploitant souhaitera sans doute étendre la durée de vie des réacteurs existants aussi loin que raisonnablement et réglementairement possible. Il est envisagé de commencer le remplacement d’une partie du parc « en biseau » dès 2020 pour lisser l’effort financier, d’abord avec des réacteurs de troisième génération, puis de quatrième génération. La France est largement équipée en nucléaire et son parc de réacteurs est relativement jeune. Pourtant, la construction d’un EPR de démonstration vient d’être décidée. Alors, pourquoi un EPR maintenant ?… Le développement d’une nouvelle filière est une opération de longue haleine : pour introduire des réacteurs de troisième génération en 2020, il faut commander un prototype d’EPR maintenant. Le calendrier envisagé pour le déploiement d’EPR en France est le suivant :
2003-2006 Processus d’autorisation réglementaire et préparation de la réalisation
2005 Décision d’un démonstrateur EPR
2007-2011 Construction et mise en service du démonstrateur EPR
2012-2014 Acquisition du retour d’expérience d’exploitation (minimum 3 ans)
2015 Décision de construction d’une série d’EPR (nombre et rythme à définir)
2020 Mise en service du premier réacteur de la série
2021... Mise en service des réacteurs suivants
p.78
"Fig. 88. L’arbre phylogénétique des réacteurs nucléaires. Brève description des grands embranchements de l’arbre : les réacteurs peuvent fonctionner à l’uranium naturel ou à l’uranium enrichi, mais l’utilisation d’uranium naturel restreint le choix des caloporteurs au graphite et à l’eau lourde. L’utilisation d’U enrichi ouvre presque tousles choix possibles de caloporteurs et de modérateurs. Certaines
combinaisons sont plus heureuses que d’autres : le caloporteur eau a eu beaucoup de succès, car c’est aussi un bon modérateur. Les réacteurs à eau (REP et REB) constituent la majorité du contingent des réacteurs de génération II (actuel) et III (futur proche). La combinaison d’un modérateur graphite et d’un caloporteur gaz ouvre la voie aux réacteurs à haute température. Les branches des réacteurs à neutrons rapides sont encore peu développées. Seules certaines espèces de réacteur nucléaires ont survécu. Certaines branches sont éteintes ou en voie d’extinction : les réacteurs graphite-gaz UNGG ou Magnox pour des raisons de compétitivité économique, les RBMK pour des raisons de sûreté. Mais les critères de sélection changent, le monde évolue… D’autres espèces sont en émergence. Les six concepts retenus par le forum « Gen. IV* » sont en haut de l’arbre. Tous se développeront-ils ?…
• WPu : réacteur plutonigène militaire.
• CANDU : réacteur à uranium naturel, refroidi et modéré à l’eau lourde.
• SGHWR : Réacteur à eau lourde fournissant de la chaleur industrielle (Steam Generating Heavy Water Reactor).
• AGR : Réacteur graphite-gaz (Advanced Gas-Cooled Reactor).
• (V)HTR : Réacteur à gaz à (très) haute température ([Very] HighTemperature Reactor).
• SCWR : Réacteur à eau supercritique (Super Critical Water Reactor).
• ADS : Système hybride* spallation*-fission (Accelerator Driven System).
• FR : Réacteur à neutrons rapides (Fast Reactor).
• MSR : Réacteur à sels fondus (Molten Salt Reactor)"
CEA (11 0ct 2007)
http://www.cea.fr/energie/les_systemes_nucleaires_du_futur
Institutions et organismes: qui fait quoi?
AIEA (Agence internationale de l’énergie atomique): agence intergouvernementale qui, sous l’égide des Nations unies, oeuvre pour l’utilisation pacifique du nucléaire et le respect du traité de non-prolifération.
AIE (Agence internationale de l’énergie): agence semi-autonome chapeautée par l’OCDE(Organisation de coopération et de développement économiques) dont le but est le conseil en matière de politique énergétique.
AEN (Agence de l’OCDE pour l’énergie nucléaire): fut créée en 1957 sous le nom d’Agence européenne pour l’énergie nucléaire par le Conseil de l’Organisation européenne de coopération économique avant d’être reprise par le Conseil de l’OCDE pour aider au développement du nucléaire civil.
Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs): créée par la loi du 30 décembre 1991, c’est un établissement public, industriel et commercial, chargé de la gestion à long terme des déchets radioactifs en France. Elle publie l’inventaire des matières et déchets radioactifs.
ANL (Argonne National Laboratory): premier laboratoire national américain (1946), il est l’un des principaux centres de recherche du DOE. Géré par l’université de Chicago, il est actif dans la recherche de base, les grands instruments, l’énergie, l’environnement et la sécurité.
ANR (Agence Nationale de la Recherche): établissement public administratif (créé en 2005 sous forme de groupement d’intérêt public) chargé de financer des projets de recherche sélectionnés sur des critères scientifiques et économiques.
Areva: groupe industriel français contrôlé à 79 % par le CEA (83 % des droits de vote). Areva NP (ex-Framatome ANP, dont l’Allemand Siemens détient 34 %) est leader mondial dans la conception et la construction de réacteurs – avec aussi sa filiale d’ingénierie Areva TA (Technicatome) – et la fourniture de services nucléaires. Areva NC (ex Cogema) couvre l’ensemble des services liés au cycle du combustible.
ASN (Autorité de sûreté nucléaire): sous l’autorité des ministères en charge de l’Environnement, de l’Industrie et de la Santé, elle est chargée du contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en France, avec notamment l’appui de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).
CNRS (Centre national de la recherche scientifique): établissement public à caractère scientifique et technologique exerçant son activité dans tous les domaines de la recherche.
Commission européenne: un des organes clé de l'Union européenne, elle gère la mise en oeuvre des textes adoptés par le Conseil et a le monopole de l'initiative législative. Elle dispose d'un large pouvoir de conduite des politiques communes. Dans le domaine de la recherche et de la technologie, elle a pour instrument le programme cadre de recherche et de développement (le 7e PCRD pour la période 2007-2013).
CRIEPI: Central Research Institute of Electric Power Industry (Japon).
CSNSM (Centre de Spectrométrie Nucléaire et de Spectrométrie de Masse): situé à Orsay (Essonne), c’est une unité mixte de recherche pluridisciplinaire relevant de l’IN2P3 (CNRS) et de l'université Paris-Sud. Il a de nombreuses collaborations en France (CNRS, CEA, Cnes), à l'étranger et avec le milieu industriel (EDF, Alcatel-Lucent…).
DOE (Department of Energy): ministère américain de l'Énergie.
EADS Astrium: filiale regroupant les activités spatiales du groupe aérospatial et de défense EADS.
EDF: le groupe construit autour d’Électricité de France est présent sur tous les métiers de l’électricité (activités dérégulées de production, de commercialisation et de négoce ou régulées de transport et de distribution), mais aussi sur la chaîne du gaz.
EIA (Energy Information Administration): agence du DOE qui réalise des études, collecte des données et publie les statistiques sur les questions énergétiques pour le compte du gouvernement des États-Unis.
ENEA (Ente per le Nuove tecnologie, l'Energia e l'Ambiente):agence nationale italienne pour les nouvelles technologies, l’énergie et l’environnement.
Eskom: producteur et distributeur national de 95 % de l’électricité utilisée en Afrique du Sud. Principal investisseur dans Pebble Bed Modular Reactor (Pty) Ltd qui promeut le projet PBMR de réacteur à haute température.
Euratom : instituée en 1957 par le traité éponyme, la Communauté européenne de l'énergie atomique contribue au développement du nucléaire dans l'Union européenne.
Forschungzentrum Karlsruhe (FZK): centre de recherche et de technologie, fondé par la République fédérale allemande et le Land de Bade-Württemberg, actif dans cinq domaines: structure de la matière, Terre et environnement, santé, énergie et technologies-clés.
Forum international Génération IV (GIF) ou Forum GEN IV: initiative lancée en 2000-2001 par le DOE qui associe les pays (Afrique du Sud, Argentine, Brésil, Canada, Chine, Corée du Sud, États-Unis, France, Japon, Royaume-Uni, Russie, Suisse et Euratom) qui mènent des recherches sur une nouvelle génération de systèmes nucléaires présentant des qualités d’économie, de sûreté améliorée, de minimisation des déchets et de résistance à la prolifération.
General Atomics: groupe industriel américain créé en 1955 autour des technologies nucléaires. Il valorise ses compétences dans le cycle du combustible, la détection aéroportée, l’électricité, l’électronique, les télécommunications et les lasers.
GNEP (Global Nuclear Energy Partnership) : cette partie intégrante de l’Advanced Energy Initiative américaine cherche à permettre un usage plus large au niveau mondial de l’énergie nucléaire tout en promouvant la non-prolifération. Ce partenariat implique le développement de cycles fermés du combustible et le retraitement.
IFMIF (International Fusion Materials Irradiation Facility) : projet qui vise à caractériser les matériaux pour le réacteur de fusion DEMO (voir ITER). Dans le cadre de l’accord de coopération élargie conclu en 2006 avec l’Union européenne, IFMIF sera construit au Japon.
INERI (International Nuclear Energy Research Initiative): projet de recherche promu par l’Office of Nuclear Energy (Sandia) du DOE.
INET (l’Institute of Nuclear Energy Technology): cette émanation de l’université chinoise de Qinghua (Tsinghua), est notamment active dans les réacteurs à gaz à haute température.
IN2P3: Institut national de physique nucléaire et de physique des particules du CNRS.
INPRO (International Project on Innovative Nuclear Reactors and Fuel Cycles Programme): lancé en 2000 par l’AIEA, il porte essentiellement sur la définition d’une méthodologie d’évaluation des systèmes nucléaires en matière de sûreté, de prolifération, d’environnement et de gestion des déchets.
Institut Von Karman (IVK): cette organisation d’enseignement et de recherche belge active dans l’aérospatial, la dynamique des fluides, les turbomachines et la propulsion a été créée en 1956.
INSTN (Institut national des sciences et techniques nucléaires): établissement public d’enseignement supérieur, rattaché au CEA et placé sous la tutelle des ministères en charge de l’Éducation nationale et de l’Industrie, a notamment pour mission de transmettre les savoirs et savoir-faire développés au sein du CEA.
ITER (International Thermonuclear Experimental Reactor): projet visant à démontrer à partir de 2016 la faisabilité de l'énergie de fusion par confinement magnétique. Les partenaires sont l'Union européenne (Euratom), le Japon, la Chine, l'Inde, la Corée du sud, la Russie et les États-Unis. Il ouvrira la voie au projet DEMO, qui visera à prouver la capacité à réaliser un réacteur électrogène.
ITU (Institut des transUraniens de Karlsruhe): un des sept instituts du Centre commun de recherche de l’Union européenne.
JAEA (Japan Atomic Energy Agency): cette agence est née de la fusion en 2005 du Japan Atomic Energy Research Institute (JAERI) et du Japan Nuclear Cycle Development Institute (JNC).
Laboratoire de Composites Thermostructuraux (LCTS): c’est une unité mixte de recherche (UMR) en partenariat avec le CNRS, la Snecma (groupe Safran), le CEA et l'université Bordeaux 1. Créée en 1988, c’est un acteur majeur des composites haute température et à matrices céramiques.
Loi du 30 décembre 1991: elle a encadré pendant quinze ans en France les recherches sur la gestion des déchets radioactifs à vie longue de haute ou de moyenne activité selon trois axes (séparation-transmutation, stockage et entreposage).
Loi du 28 juin 2006: loi de programme relative à la gestion durable des matières et déchets radioactifs en France qui organise la poursuite des recherches sur la gestion des déchets radioactifs à vie longue de haute ou de moyenne activité avec pour jalons : disposer en 2012 d’une évaluation des perspectives industrielles des filières de séparation-transmutation et mettre en exploitation un prototype avant fin 2020, choisir un site de stockage en vue d’une mise en exploitation en 2025 et créer au plus tard en 2015 de nouvelles installations d’entreposage. Elle prévoit aussi de définir pour 2008 des solutions de stockage des déchets graphite, radifères, tritiés et des sources scellées.
ORNL (Oak Ridge National Laboratory et Sandia National Laboratories): l’un des principaux centres de recherche du DOE.
PCRD: (voir Commission européenne).
Safran : groupe industriel français dont les principales activités sont la propulsion aéronautique et spatiale (Snecma) ainsi que l’électronique et les télécommunications (Sagem). La SPS (Snecma Propulsion solide) en est une filiale.
Université Paris Sud-Orsay (Paris XI): un des plus importants centres scientifiques français avec 46 laboratoires à Orsay et Gif-sur-Yvette (Essonne), plus de 700 enseignants-chercheurs de l’université Paris-Sud et 700 chercheurs CNRS.
World Nuclear Association (WNA): organisation privée qui vise à promouvoir l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire.
ANDRA
Une sélection de sites Internet pour tout savoir sur la radioactivité, les partenaires et interlocuteurs de l'Andra, les organismes de contrôle, la gestion des déchets radioactifs à l'étranger, etc.
http://www.andra.fr/pages/fr/menu1/l-andra/liens-utiles-1317.html
Débat public sur la gestion des déchets radioactifs
- BRGM : Bureau de recherches géologiques et minières
- CNRS : Centre national de la recherche scientifique
- CORDIS : service communautaire d'information sur la recherche et le développement
- Ecole des Mines de Paris
- GdR FORPRO : Groupement CNRS-Andra pour la recherche sur le stockage en formations géologiques profondes
- IPGP : Institut de physique du globe de Paris
- Mont-Terri : laboratoire méthodologique de recherche suisse Yucca Mountain : laboratoire méthodologique de recherche américain (en anglais)
- Union Française des Géologues
- Yucca Mountain
- WIPP : Waste Isolation Plant Program (Etats-Unis)
- BIOCLIM : Modelling Sequential Biosphere Systems under Climate Change for Radioactive Waste Disposal (en anglais)
- ESDRED : études d'ingénierie et mise au point de démonstrateurs applicables au stockage géologique (en anglais)
- NF-PRO : projet européen intégré - Integrated Project on the Geological Disposal of Radioactive Waste (en anglais)
- Migration'05 : International Conference on Chemistry and Migration Behaviour of Actinides and Fission Products in the Geosphere (en anglais)
- IGDTP Implementing Geological Disposal of Radioactive Waste Technology Platform (en anglais)
- AREVA
- CEA : Commissariat à l'Energie Atomique et aux Energies Alternatives
- EDF , Electricité de France
- Socodei : Société pour le conditionnement des déchets et des effluents industriels
- Ministère de l'Environnement, de l'Energie, du Développement Durable et de la Mer (MEEDDM)
www.toutsurlenvironnement.fr : Portail de l'information publique environnementale - Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
- ADEME : Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie
- AIEA : Agence internationale de l'énergie atomique (en anglais)
- ANR :Agence nationale de la Recherche
- ASN : Autorité de sûreté nucléaire
- CLI : Commission locale d'information
- CLIS : Laboratoire de Meuse/Haute-Marne (Comité local d'information et de suivi)
- Commission européenne sur le démantèlement (en anglais)
- CSSIN : Conseil supérieur de la sûreté et de l'information nucléaires
- DRIRE : Directions régionales de l'industrie, de la recherche et de l'environnement
- Forum Eurosafe : démarche globale et européenne dont le but est de contribuer à la convergence des pratiques techniques de sûreté nucléaire en Europe
- INERIS : Institut national de l'environnement et des risques
- IRSN : Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire
- Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques
Allemagne
- DBE : Deutsch Gesellschaft zum bau und betrieb von Endlagern fur abfallstoffe mbh
- BFS : Bundesamt für Strahlenschutz
Belgique
- ONDRAF : Organisme national des déchets radioactifs et des matières fissiles enrichies
- CEN-SCK : Centre d'étude de l'Energie Nucléaire
Canada
Chine
- CNNC : China National Nuclear Corporation
Corée
Espagne
- ENRESA : Empresa Nacional de Residuos Radioactivos
Etats-Unis
Finlande
- POSIVA OY : Expertise on nuclear waste management
Grande-Bretagne
- BNFL : British Nuclear Fuel Limited
- NIREX : Responsible Environmental Management for Radioactive Waste
Italie
- ENEA : Ente per le Nuove tecnologie, l'Energia et l'Ambiante
Japon
- JNFL : Japan Nuclear Fuel Ltd
- NUMO : Nuclear Waste Management of Japan
- RWMC : Radioactive waste management funding an research center
Pays-Bas
- COVRA : Centrale Organisatie Voor Radioactief Afval
Suède
Suisse
- NAGRA : National Cooperative for the Disposal of Radioactive Waste
- ACRO : Association pour le contrôle de la radioactivité de l'ouest
- American Nuclear Society
- Amis de la Terre : association environnementale
- Archivistes.org : Association des Archivistes Français
- Confédération française pour les essais non destructifs
- Coordination nationale des collectifs contre l'enfouissement des déchets radioactifs
- CPIE de Soulaines : centre permanent d'initiatives pour l'environnement
- CRIIRAD : Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité
- CYPRES : entre d'information du public pour la prévention des risques industriels et la protection de l'environnement
- Greenpeace France
- Groupement d'intérêt public Objectif Meuse
- Infonucléaire
- Nuclear Energy Institute (en anglais)
- Nuclear Information & Ressource Service (en anglais)
- SFEN , la Société française d'énergie nucléaire
- Réseau Sortir du nucléaire
- World Nuclear Association (en anglais)
- Cité de la mer de Cherbourg
- Cité des sciences et de l'industrie
- E-Géologie : portail vers les sciences de la Terre
- La Radioactivité (Monsieur Tout-le-monde rencontre la radioactivité)
- Palais de la découverte
- Pacte pour la recherche : site du Ministère chargé de la recherche dédié à l'information sur la loi d'orientation et de programmation recherche
- Colloque "Transfert 2006" : propriétés de transfert des géomatériaux
- Expertise internationale sur les recherches de l'Andra : rapport du gro
Nos homologues :
Allemagne
BFS
Belgique
Ondraf
Canada
NWMO
Espagne
ENRESA
Finlande
Posiva
Japon
NUMO
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NDA
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