FUKUSHIMA - 2 mai 2011 - Quoi de neuf N°39 - Dernières nouvelles - NATURE(S)
FUKUSHIMA - ACTUALITES
Blocage de Flamanville par Greenpeace - 2 mai 2011

Outre le décès de Ben Laden...
Une soixantaine de militants de Greenpeace bloque depuis 3H30 ce matin les accès du chantier de l'EPR à Flammanville. Enchainés aux grilles d'entrées du site, les militants de Greenpeace empêchent l'accès aux salariés qui travaillent sur le chantier.
GREENPEACE : "14h : Greenpeace impose de fait le moratoire sur l’EPR demandé à Nicolas Sarkozy
Les activistes enchaînés aux grilles et les camions qui bloquaient l’entrée du chantier EPR de Flamanville (Manche) ont été délogés en fin de matinée. Mais, à 14h, les grimpeurs de Greenpeace occupent toujours trois grues, empêchant toute reprise des travaux. Les ouvriers ont tous été renvoyés chez eux. Greenpeace applique donc de fait l’arrêt du chantier EPR qu’elle demande à EDF, à l’Autorité de sûreté nucléaire et au gouvernement français.
Invitée à 13h à l’Elysée, avec d’autres ONG, par Nicolas Sarkozy, Greenpeace en a profité pour délivrer ce message directement au président de la République. Depuis le début de la catastrophe de Fukushima, et en particulier la semaine dernière, celui-ci s’est distingué par de scandaleuses déclarations, jouant les VRP du nucléaire à la française et tentant de couper court au débat sur l’énergie et le nucléaire qui semble enfin trouver un écho dans l’opinion publique française. Morceaux choisis : « la France ne peut se couper un bras » en sacrifiant le nucléaire ou « il n’y a aucune raison de remettre en cause la part du nucléaire » en France… Et c’est dans ce contexte que le président de la République a même osé proposer aux ONG présentes un « Grenelle de l’énergie » !"
IRSN - Accident de Fukushima-Daiichi (dernier en date)
Bulletin d’information n° 5 du 29 avril 2011
Ce bulletin destiné à l’information des résidents français au Japon est élaboré par l’IRSN
POINT DE SITUATION SUR L’ACCIDENT ET SES CONSEQUENCES
Ce chapitre résume les principales informations relatives aux opérations conduites sur le site de la
centrale de Fukushima, aux données disponibles sur les rejets radioactifs provenant des réacteurs
accidentés et aux conséquences environnementales de l’accident.
Situation sur le site de Fukushima-Daiichi et plan de sortie de crise
L’état de trois réacteurs (1, 2 et 3) reste préoccupant. De l’eau douce est maintenant utilisée pour
refroidir les réacteurs et les piscines. Néanmoins, ce refroidissement s’effectue toujours par
injection d’eau en cuve en circuit ouvert et ne peut donc être pérenne.
Les débits d’injection d’eau
dans les réacteurs ont été augmentés afin de renoyer complètement les assemblages qui étaient
jusqu’alors partiellement à découvert. TEPCO injecte depuis le 6 avril à un débit faible de l’azote à
l’intérieur de l’enceinte du réacteur n°1 afin de limiter le risque d’explosion de l’hydrogène
présent dans ce bâtiment. La même action sera réalisée ultérieurement dans les enceintes des
réacteurs 2 et 3.
Ces opérations, qui dureront plusieurs jours pour chaque réacteur, pourront
générer de nouveaux rejets atmosphériques. TEPCO suit de près le comportement de l’installation
pour vérifier que l’enceinte ne se dégrade pas (poids d’eau, résistance sismique). TEPCO n’a pas
confirmé la présence de fuite sur cette enceinte à ce stade. Il est prévu d’injecter de l’eau
également dans les enceintes des réacteurs n°2 et 3
.../...
http://www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Actualites/Documents/IRSN_Residents-Japon_Bulletin5_29042011.pdf
LE SITE DU JOUR
A C R O
Association pour le Contrôle de la Radioactivité de l'Ouest
Laboratoire indépendant d'analyse de la radioactivité - Centre d'information et de documentation
Créée à la suite de la catastrophe de Tchernobyl en 1986, l'A.C.R.O est une association d'information et de surveillance de la radioactivité, dotée d'un laboratoire d'analyse et agréée de protection de l'environnement.
Chaque installation nucléaire rejette de la radioactivité dans l'environnement. Il est pourtant impossible à tout riverain de connaître les résultats de mesures officielles. L'ACRO a été créée à la suite de la catastrophe de Tchernobyl pour permettre au citoyen de s'approprier la surveillance de son environnement.
ACRO - 138, rue de l'Eglise -14 200 Hérouville St Clair - tél. 02.31.94.35.34 - fax. 02.31.94.85.31 -
acro @acro.eu.org
PDF-THEQUE DE L'ACRO (A voir absolument)
http://www.acro.eu.org/thema.html
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ROMANDIE NEWS/AFP (SUISSE)
Greenpeace bloque les accès au chantier de l'EPR de Flamanville
CHERBOURG (Manche) - L'association écologiste Greenpeace bloque depuis lundi vers 03h30 les quatre accès au chantier EDF du réacteur nucléaire nouvelle génération EPR de Flamanville tandis que d'autres membre de l'associations escaladent les grues du chantier, a constaté un correspondant de l'AFP.
Le nucléaire sûr n'existe pas, on veut dès maintenant un moratoire sur le nucléaire, et ça même André-Claude Lacoste, le patron de l'ASN, l'a évoqué, a expliqué à l'AFP Yannick Rousselet, chargé de campagne nucléaire chez Greenpeace France.
L'opération sur le site de l'EPR a commencé à 03h30. Des militants se sont enchaînés sur les quatre grilles d'accès du chantier et deux véhicules ont été fixés sur les routes habituelles d'accès par un système installé à l'intérieur du véhicule, a expliqué M. Rousselet.
Vers 05h00 les premiers ouvriers qui voulaient accéder au chantier se sont retrouvés bloqués devant l'accès principal du site où la gendarmerie était présente, selon un correspondant de l'AFP.
Les militants, des Français mais aussi des Belges ou encore de Finlandais et des Canadiens, se sont attachés aux grilles, mais aussi dans les véhicules de l'association fixés au sol.
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En tout, une soixantaine de militants sont arrivés sur le site, dont une vingtaine sur les grilles tandis qu'une quarantaine d'autres, des grimpeurs, ont entamé l'ascension des grues du chantier, selon Yannick Rousselet.
Trois des principales grues du chantier étaient investies vers 05h00, selon l'association.
Le but est de rester le plus longtemps possible, a affirmé M. Rousselet.
Le chantier de l'EPR de Flamanville, l'un des deux chantiers EPR les plus avancés dans le monde (l'autre se situant en Finlande), emploie quelque 3.400 personnes.
EDF, le maître d'oeuvre, a annoncé en juillet 2010 qu'il repoussait de deux ans, à 2014, la mise en service de ce réacteur que la France veut exporter, et avait relevé son coût à 5 milliards d'euros contre 3,3 milliards initialement.
L'EPR est régulièrement la cible des associations écologistes comme le 23 avril où entre 580 et 800 personnes s'étaient rassemblées devant le site pour réclamer la sortie du nucléaire.
Fin mars André-Claude Lacoste, président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), avait évoqué devant le Parlement la possibilité d'un moratoire sur la construction de l'EPR.
(©AFP / 02 mai 2011 05h34)
L'USINE NOUVELLE
Les militants écologistes ont investi le chantier dans la nuit de dimanche à lundi. Greenpeace demande un moratoire sur la construction de la centrale nucléaire de nouvelle génération.
Ils bloquent le chantier depuis lundi matin à 3h30. Les militants de Greenpeace se sont installés sur le futur EPR de Flamanville pour protester contre l'utilisation de l'énergie nucléaire.
"Le nucléaire sûr n'existe pas, on veut dès maintenant un moratoire sur le nucléaire", a expliqué Yannick Rousselet, chargé de campagne nucléaire chez Greenpeace France.
Une vingtaine de militants se sont attachés sur les grilles du chantier. Une quarantaine d'autres, des "grimpeurs", ont entamé l'ascension des grues du site.
André-Claude Lacoste, président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), a évoqué fin mars la possibilité d'un moratoire sur la construction de l'EPR.
LE FIGARO - 7H08
Fukushima: digue anti-tsunami
02/05/2011 | Mise à jour : 07:08 Réagir
Une nouvelle digue va être construite devant la centrale nucléaire endommagée de Fukushima Daiichi, sur la côte nord-est du Japon, afin de la protéger contre d'éventuels tsunamis de grande ampleur, a annoncé l'opérateur Tokyo Electric Power.
Construite sur un terrain situé dix mètres au-dessus du niveau de la mer, cette nouvelle digue de deux mètres de haut et de 500 mètres de long devrait être achevée d'ici mi-juin, selon l'opérateur, cité par des médias locaux.
Tepco a également annoncé son intention de faire passer de 1.000 à 3.000 le nombre de personnes - salariés directs ou employés de sous-traitants - pouvant travailler sur le site endommagé afin de limiter leurs temps d'exposition aux radiations.
EN QUETE DE SCIENCE
30 avril 2011 - Toshiso Kosako, expert en protection nucléaire et conseiller scientifique du Premier ministre japonais Naoto Kan depuis le 16 mars, a démissionné vendredi 29 avril 2011. Très ému pendant la conférence de presse qu'il a donnée pour annoncer sa décision, ce professeur à l'université de Tokyo de 61 ans estime que le gouvernement n'a pas tenu compte de ses conseils et modifié les règles de protection contre les radiations. Toshiso Kosako considère que les décisions prises par l'Etat japonais visent à résoudre les problèmes dans l'urgence mais ne préparent pas la sortie de la crise provoquée par le désastre nucléaire de Fukushima. Il a cité, en particulier, deux points sur lesquels il est en désaccord avec ces décisions. D'abord, le relèvement, après la catastrophe, de 100 à 250 millisieverts de la dose maximale que peut recevoir un travailleur sur le site de la centrale. Ensuite, les mesures adoptées concernant les écoles de la préfecture de Fukushima, la ville située à 80 km de la centrale de Tepco.
Ces mesures, prises par le ministère de l’Éducation et de la science le 19 avril, prévoient que les écoles resteront ouvertes tant que les radiations ne dépassent pas 3,8 microsieverts par heure. Soit 20 millisieverts par an, c'est à dire la limite adoptée pour le personnel travaillant dans les centrales nucléaires. Pour le grand public, la dose maximale est de 1 millisievert par an. "Je ne peux par permettre que des enfants soient soumis à de telles expositions d'un point de vue académique aussi bien qu'humanitaire", a déclaré Toshiso Kosako. "Si j'approuvais cette décision, je ne serais plus un chercheur. Je ne voudrais pas que mes enfants soient exposés à de telles radiations", a-t-il précisé.
LE BERRY.FR
TEMPS FORT : Sologne-Sancerrois
Tout comme ce fut le cas à Flamanville (Manche) où le premier réacteur EPR voit le jour, un lobby milite pour que le site de la centrale nucléaire de Bellevile-sur-Loire monte en puissance.
Au total, 94 rassemblements organisés dans le Loiret, en région Centre et partout en France par le réseau « Sortir du nucléaire » pour « fêter » le 25e anniversaire de Tchernobyl durant le weekend pascal.
Un pique nique de refus aux portes du site de Dampierre. Mais aussi ce voeu d'un « retrait progressif du nucléaire » exprimé, tout récemment, par une douzaine d'élus Verts au conseil régional du Centre. Récemment imités par le candidat Nicolas Hulot... Fukushima est passé par là.
À contrecourant, le lobby EPR (European Pressured Reactor) Belleville cap 2015 milite, lui, activement, pour que l'activité du site nucléaire implanté aux confins de trois départements (Loiret, Cher et Nièvre) se poursuive encore longtemps. Bien des éléments plaident, selon ses membres, en faveur d'une montée en puissance du site de Belleville-sur-Loire: l'emprise foncière permet aisément une extension, la Loire apporte la «source froide », l'infrastructure des lignes existe, la mutualisation de certains moyens serait synonyme d'économie alors que la proximité de l'Ile de France, gros consommateur d'énergie, constitue un argument supplémentaire pour qu'un réacteur EPR trouve sa place sur les bords de Loire.
Glasnost sur Fukushima
Un site perso sympa, signalé par Olivier
Vues aériennes des 4 réacteurs de la centrale, http://cryptome.org/eyeball/daiichi-npp/daiichi-photos.htm
Surveillance à distance de la centrale rafraichie toutes les heures (webcam de Tepco):
Mesures de la radioactivité et de la contamination sur différents sites (mise à jour régulière) La radioactivité sur le site de Fukushima http://www.nytimes.com/interactive/2011/03/16/world/asia/20110316-japan-quake-radiation.html?ref=asia La radioactivité mesurée au Japon tableau de valeurs
la radioactivité et la contamination à Tokyo la surveillance en France et en Allemagne (Bfs) |
OUEST-FRANCE.FR
EPR : « les conditions de travail doivent changer ! »
Devant l'ancienne cantine de la mine à Flamanville : les délégués européens de la CGT se sont retrouvés hier pour dénoncer les conditions de travail des étrangers sur les chantiers comme l'EPR.
Le syndicat CGT se préoccupe du sort des travailleurs étrangers et des intérimaires sur le chantier de l'EPR. Une rencontre internationale a eu lieu à Flamanville.
Pas facile de faire avancer les choses. A l'entendre, la CGT est relativement désarmée pour faire appliquer le droit social français sur le chantier de l'EPR. « On voudrait une chose simple, remarque Jack Tord. Lever les peurs. À commencer par celle de parler avec les représentants du personnel... »
Pendant deux jours, la CGT, avec les organisations professionnelles de l'énergie, de la construction, des intérimaires et des responsables de la confédération européenne des syndicats a tenté d'échanger et de débattre avec les salariés.
Des tracts en Français, mais aussi en Roumain, en Portugais, en Polonais ont été distribués à l'entrée du site. Les syndicalistes ont également visité les logements des travailleurs étrangers sur la base de vie des Pieux par exemple. Mais la pêche a été faible.
« Sur ce chantier, mais aussi sur d'autres chantiers européens, on interdit la libre circulation des représentants syndicaux, note encore Jack Tord. Pourtant, nous sommes bien sûr un site en République française. »
« Sur ce chantier, mais aussi sur d'autres chantiers européens, on interdit la libre circulation des représentants syndicaux, note encore Jack Tord. Pourtant, nous sommes bien sûr un site en République française. »
LE SANCTUAIRE DE LA FRAUDE (ndr)
Pourtant, il y a du grain à moudre, dans ce que la CGT qualifie de « sanctuaire de la fraude ». « Les premières victimes sont les travailleurs intérimaires. Il y a des contrats à la semaine, pour quinze jours, qui sont systématiquement renouvelés. »
Quant au droit social français, il ne concerne visiblement pas les étrangers. Le syndicat a ainsi pu se procurer la fiche de paye d'un coffreur polonais. « Il a été engagé par une entreprise d'intérim polonaise. Il travaille pour une boîte basée à Chypre. Parmi les prélèvements obligatoires, on note une somme de 300 € pour les assurances maladies. Or, quelques lignes plus loin, on lit que le travailleur n'a droit à aucune prestation sociale ! De plus, le bulletin est rédigé en Anglais. Le contrat stipule que les tribunaux français ne sont pas compétents, si le salarié est en conflit avec son employeur. Seul un tribunal interne à l'entreprise peut en juger... Après différents prélèvements, dont celui de l'hébergement, et des impôts français, le salaire net est de 1 137,75 € par mois, pour 42,5 heures de travail hebdomadaire, 6 jours sur 7. Soit 10 € de l'heure pour un ouvrier qualifié ! »
Droit social
Face à des situations comme celles-là, le syndicat européen voudrait une harmonisation du droit du travail. Et l'application du droit social français, quand on travaille en France, quelle que soit la nationalité du salarié.
« Le mouvement européen milite pour que le même salaire soit versé aux travailleurs employés dans un même lieu. » On en est loin. Et la CGT voudrait qu'EDF, le maître d'ouvrage de l'EPR, reprenne les choses en main. « Nous demandons une chose simple : le respect de l'accord signé en 1978. Il garantissait aux travailleurs étrangers des logements, des équipements collectifs, des conditions d'existence aussi proches que possible de celles de la population. »
En attendant toutes les réactions des syndicats, commençons par la CGT :
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CGT
1. | Bernard Thibault écrit aux syndicats japonais | |
Le séisme, suivi d' un tsunami, a dévasté le nord est du pays et il semblerait que s' y ajoute aujourd' hui le danger- considérable- d' un accident nucléairemajeur... Le risque d' un accident nucléaire ajoute aux difficultés que doivent affronter les populations. Dernière mise à jour : 16/03/2011 | ||
2. | Déclaration de la Cgt du 17 mars 2011 suite aux catastrophes | |
La catastrophe naturelle se double désormais d' une catastrophe industrielle etnucléaire majeure... Cette catastrophe nucléaire qui provoque aussi en France et ailleurs une émotion forte, soulève de nouvelles interrogations légitimes et compréhensibles quant à la politique... Dernière mise à jour : 17/03/2011 | ||
3. | Les conditions de vie et de travail des salariés doivent s'améliorer ! | |
La CGT tient à disposition de la Justice, de l' Autorité de Sûreté Nucléaire et des Institutions Représentatives du personnel, les éléments confirmant son analyse. Les directions des entreprises, les pouvoirs publics ne peuvent se défausser de leur responsabilité . Dernière mise à jour : 03/02/2011 | ||
4. | Solidarité Japon | |
La CGT et ont lancé un appel urgent à la solidarité des organisations de la CGT, de leurs adhérents, des salariés envers le peuple japonais, victime d' un terrible tremblement de terre suivi d' un tsunami entrainant un accident nucléairemajeur... Le Gouvernement, TEPCO et le Comité... Dernière mise à jour : 21/03/2011 | ||
5. | La grève se poursuit pour les salaires | |
Dans cette usine qui fabrique des tubes en acier inoxydable et en titane pour les centrales électriques et les centrales nucléaires, 80 % des salariés ont cessé le travail depuis 10 jours afin de peser sur" les Négociations annuelles obligatoires "qui achoppent sur le montant de l'... Dernière mise à jour : 01/12/2010 |
LE SITE DU JOUR
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Association pour le Contrôle de la Radioactivité de l'Ouest
Laboratoire indépendant d'analyse de la radioactivité - Centre d'information et de documentation
Créée à la suite de la catastrophe de Tchernobyl en 1986, l'A.C.R.O est une association d'information et de surveillance de la radioactivité, dotée d'un laboratoire d'analyse et agréée de protection de l'environnement.
Chaque installation nucléaire rejette de la radioactivité dans l'environnement. Il est pourtant impossible à tout riverain de connaître les résultats de mesures officielles. L'ACRO a été créée à la suite de la catastrophe de Tchernobyl pour permettre au citoyen de s'approprier la surveillance de son environnement.
ACRO - 138, rue de l'Eglise -14 200 Hérouville St Clair - tél. 02.31.94.35.34 - fax. 02.31.94.85.31 -
acro @acro.eu.org
PDF-THEQUE DE L'ACRO (énoooooorme - à voir absolument !)
http://www.acro.eu.org/thema.html